La ventriculature est un test qui montre des images spécifiques du cœur ou du cerveau. Les images permettent au médecin de vérifier la santé des cavités inférieures du cœur, appelées ventricules, et des différentes sections du cerveau.
Comment le test est-il effectué ? La ventriculographie est réalisée par injection d’un produit de contraste, généralement du technétium, dans les veines. Cette substance se colle aux globules rouges et passe par l’organe affecté. De cette façon, une image peut être détectée avec une caméra spéciale connectée à un électrocardiogramme. Enfin, un ordinateur examine les images.
Qu’est-ce que la ventriculologie cardiaque ?
La ventriculographie cardiaque est un test d’imagerie médicale utilisé pour déterminer la fonction cardiaque du patient. Elle consiste à injecter un agent de contraste dans le ventricule du cœur pour mesurer le volume de sang pompé. Il peut être réalisé avec un radionucléide ou un produit de contraste à l’iode dans le cathétérisme de la chambre cardiaque.3 Les principales mesures obtenues avec la ventriculographie cardiaque sont : le volume fractionnaire du débit cardiaque Ces trois mesures ont en commun les rapports entre le volume systolique final et le volume diastolique final. Le test peut être réalisé de manière invasive ou non invasive.
Que peut-il mettre en évidence ?
La procédure non invasive est réalisée avec une injection préalable de colorant qui est injecté dans le sang du patient. Le médecin utilisera une caméra spéciale pour voir la quantité de sang pompée dans le cœur. Cette procédure invasive est effectuée dans le cadre d’un cathétérisme cardiaque. Le médecin insère un cathéter fin et flexible dans le cœur et l’utilisera pour injecter le colorant dans le cœur. Ce colorant permet de montrer l’organe sur une radiographie.
Plusieurs peuvent être les résultats négatifs et les problèmes résultant du test, tels que : maladie coronarienne problèmes de valves cardiaques maladie cardiaque affaiblissement de la crise cardiaque infarctus du myocarde mauvaise fonction de pompage. Cependant, le test peut également être effectué en cas de : communication interauriculaire cardiomyopathie dilatée insuffisance cardiaque cardiomyopathie idiopathique amylose péripartum médicaments pour le cœur sénile qui ont sapé la fonction cardiaque
Qu’est-ce que la ventriculographie cérébrale ?
La pneumoencéphalographie (également appelée ventriculographie cérébrale) est une procédure médicale courante depuis longtemps. Elle consiste à drainer la plus grande partie du liquide céphalorachidien du cerveau au moyen d’une ponction lombaire et à le remplacer par de l’air, de l’oxygène ou de l’hélium pour permettre à la structure du cerveau de montrer plus clairement une image radiographique. Cette procédure a été introduite en 1919 par le neurochirurgien américain Walter Dandy et a été pratiquée de manière intensive jusqu’à la fin des années 1970, où elle a été remplacée par des techniques de neuroimagerie modernes, plus sophistiquées et moins invasives.
Comment fonctionne la procédure ?
Bien que la pneumoencéphalographie soit le moyen le plus simple de localiser les lésions cérébrales, elle est extrêmement douloureuse et généralement mal tolérée par les patients conscients.La pneumoencéphalographie est associée à un large éventail d’effets secondaires, notamment des maux de tête et des vomissements graves, qui durent souvent bien au-delà de la procédure. Au cours de l’étude, le corps entier du patient a été tourné dans différentes positions pour permettre à l’air de déplacer le sang vers différentes zones du système ventriculaire et autour du cerveau. Cela a ajouté au niveau déjà élevé d’inconfort du patient (s’il n’est pas anesthésié).
Quelles sont les limites de la pneumoencéphalographie ?
La pneumoencéphalographie utilise de simples images radiographiques. Ils sont plutôt rares si l’on parle de tissus mous, comme le cerveau. De plus, toutes les structures capturées dans l’image sont superposées les unes aux autres, ce qui rend difficile l’identification des objets individuels d’intérêt (contrairement aux scanners modernes qui sont capables de produire de fines sections virtuelles du corps, y compris des tissus mous).
La structure globale du cerveau contient des fissures et des cavités qui sont remplies de liquide céphalorachidien. Le cerveau et le liquide produisent tous deux des signaux similaires sur une image radiographique. Cependant, le drainage du liquide céphalorachidien permet un plus grand contraste entre la matière cérébrale et les fissures dans et autour du cerveau, qui apparaissent alors comme des ombres sombres sur l’image radiographique.
Objectifs de la pneumoencéphalographie
Le but de la pneumoencéphalographie est de délimiter ces structures d’air comprimé qui créent une ombre afin de pouvoir les examiner dans leur forme et leur position anatomiques. Après l’intervention, un radiologue expérimenté étudie les images radiologiques pour voir si la forme ou l’emplacement de ces structures sont déformés ou ont été déplacés par la présence de certains types de lésions.
Cela signifie également que, pour apparaître sur les images, les lésions doivent être situées juste au bord des structures ou, si elles se trouvent ailleurs dans le cerveau, être suffisamment grandes pour pousser sur le tissu sain environnant dans une mesure nécessaire pour provoquer une distorsion de la forme des cavités les plus éloignées (les tumeurs distales détectées de cette manière ont tendance à être assez grandes).
Malgré son utilité, la pneumoencéphalographie ne pouvait pas représenter de grandes parties du cerveau et d’autres structures de la tête. Cette évolution a été partiellement compensée par l’utilisation accrue de l’angiographie comme outil de diagnostic complémentaire, souvent pour tenter de déduire l’état de la pathologie non neurovasculaire à partir de ses caractéristiques vasculaires secondaires. Ce test supplémentaire n’est pas sans risque, notamment en raison des techniques rudimentaires de cathétérisme et des agents radio contrastants.